Dominique Albertelli s'appuie sur ses couleurs pour renforcer l'impact de ses pensées. Son travail se présente comme une galerie de portraits d'anonymes mettant en avant l’intérêt qu'elle porte à la problématique de l'identité. Elle interroge la figure humaine dans toute sa complexité.
Entre humain et animalité s'élaborent des questions de contradictions intérieures, d'absence et de présence. La notion du temps est constamment présente. Ses œuvres montrent les passages successifs de l'individuel à l'universel. Cette thématique est, d'ailleurs, alimentée en référence à Arthur Rimbaud : « Je est un autre ». Soi et autrui, identité et différence : l’altérité reste au centre de ses préoccupations.